"Les hommes n'existent plus.
Les grands, les forts, les vrais.
A la place, des larves, des mauviettes, des frileux, des castrés.
Moi je dis que l'homme, le mâle, est un seigneur de naissance. Aux antipodes de la pitoyable vision contemporaine le réduisant à un clone de la femme. Pour les châtrés-dégénérés s'épilant les jambes et se couvrant la peau de crèmes protectrices, l'homme est une limace bien lisse qui bave en se trainant aux pieds de poulettes dégradées pour pleurer leurs faveurs.
Dans ce siècle aseptisé le mâle ne conquiert plus, il quémande.
Conscient de l'inaliénable supériorité que me confère ce glaive hérité de Mars, je me comporte sans complexe en astre dominateur, puissant et radieux, viril et impérial jusque dans mes pensées les plus élevées, indifférent à l'anti-machisme ambiant. Ce qui a pour effet de déplaire aux femmes dénaturées, aux bécasses hystériques, aux féministes invétérées et même à la masse des eunuques, je veux parler de ces caniches formant la majorité du genre masculin de notre société. Ces toutous habitués à subir la loi des femelles ont perdu toute dignité phallique.
La femme en rébellion contre l'homme déchoit de son demi-trône naturel consistant à laver les pieds de son maître. Devenue insignifiante, ridicule et sans valeur en voulant singer son dieu, elle caquète, glougloute, agite dans le vide ses ailes de volaille trop lourde, hurle stérilement à s'en égosiller pendant que le lion, nonchalant mais sûr de lui, couvre sa voix aiguë de petite créature pleureuse d'un paisible, rauque, souverain rugissement.
Lui n'a pas besoin de se déchirer les cordes vocales pour manifester sa divine autorité et faire sentir à la femme que sa crinière est une couronne, ses testicules des bijoux royaux, son membre un sceptre de pharaon.
La descendante de Vénus a un tempérament docile. Molle, tiède, inconstante, indécise, elle est faite pour obéir à son étoile et la suivre fidèlement. C'est dans sa nature.
Tandis que l'homme, ce reflet du soleil, est fait pour régner sur ses terres conquises.
Voilà pourquoi je dis que les hommes n'existent plus : parce que, éteints de l'intérieur par l'eau glaciale de l'hérésie féministe, ils ont fini par croire que le soleil était l'égal de la lune.
Raphaël Zacharie de IZARRA"
Ma réponse :
15- Si les hommes n'existent plus, les cons existent toujours (et c'est tant mieux, ça me fait des articles)
Cher soleil,
J’utilise mes ailes de volaille trop lourde pour vous écrire ce petit mot. Moi, petite créature pleureuse, qu’apprends-je ? Une nouvelle espèce est en voie de disparition sur la terre ? Les mâles, les vrais, n’existeraient plus ? Allons, allons. Alors que j’erre sans but comme la dinde idiote et perdue loin de ses fourneaux que je suis, et que je m’aventure sur le territoire des grands seigneurs, il m’arrive encore d’en rencontrer. Certes, ils ont changé. Et heureusement, parce que la préhistoire, c’était il y a bien longtemps, n’est-ce pas ? Aujourd’hui, plus besoin de boire du sang dans le crâne de ses ennemis pour se sentir viril.
N’ayez crainte Monseigneur, moi, descendante de Vénus, qui ose déchoir de mon demi-trône naturel consistant à laver les pieds de mon maître, je vous dis qu’il vous reste des choses à apprendre. Dans notre société aseptisée certes, mais qui, au moins, avance, un homme n’a plus besoin de ressembler à un Yéti hirsute (mais qui sent bon des pieds, puisque les femmes les lavent) pour être mâle. Un homme n’a plus besoin de faire des joutes chevaleresques pour se sentir puissant. Et encore qu’à l’époque, pleurer devant sa dame étant un signe de force, il s’agissait de montrer ses sentiments et cela n’était en rien un signe de faiblesse. Vous, astre dominateur, puissant et radieux, viril et impérial, prônez donc un retour plus en arrière que le Moyen Age, période déjà très joyeuse et faste.
Vous, reflet du soleil qui éblouissez ma journée par votre bêtise, vous vous comparez à un lion. Cela ne m’étonne guère. En effet, cet animal est connu pour sa paresse légendaire, dormant toute la journée alangui au soleil, pendant que les femelles chassent, élèvent les petits et se battent contre des hyènes pour conquérir de nouveaux territoires.
Vous vous comparez, sans complexes, à la planète et au Dieu Mars. Je vous comparerais plutôt à la barre chocolatée. En effet, la taille de ce que vous appelez votre sceptre royal de pharaon doit plutôt ressembler à celle d’un mars. Comme je comprends votre frustration envers les autres hommes et les femmes. Allez mangez donc un mars, et ça repart.
Vous mentionnez l’anti-machisme ambiant. J’aimerai parler de votre masculinisme. Vous dites que l’homme est un dieu, qui ne doit même pas utiliser sa voix pour manifester sa divine autorité sur les femmes. Il me semble que vous rugissez pourtant beaucoup pour un lion en fin de vie, venant d’une époque lointaine. Reprenant les thèses d’un certain Zemmour (qui se fait remplacer par une femme, rendez-vous compte ? Quel affront. Cela mériterait un duel, comme au bon vieux temps où l’homme était un homme, etc., etc.), vous en arrivez à penser que l’homme doit être un machiste, et rien d’autre. Qu’il doive vous ressembler, en somme. Or, l’homme d’aujourd’hui est beaucoup plus libre qu’auparavant. Plus besoin de se conformer à un certain modèle pour devenir un « dieu ». Il peut montrer ses faiblesses, montrer ses joies, ses peurs, être lui-même, et même s’épiler s’il le veut. Ou pas. Pleurer s’il le veut. Ou pas. Bref, il ressemble à un être humain, et pas au « dieu » que vous êtes. L’homme n’est en rien le clone de la femme. Il garde toutes ses spécificités. Les peurs, joies, tristesses, faiblesses d’un homme ne sont pas celles des femmes, et heureusement. C’est dans le respect de nos différences respectives, mais aussi dans le respect des demandes légitimes des femmes que nous pourront faire avancer la société vers plus d’égalité pour chacun.
Vous, cette étoile que les femmes devraient obéir et suivre, plus que toutes les féministes du monde, enfermez hommes et femmes dans des rôles préétablis. C’est dans la nature des femmes d’être molles, tièdes, inconstantes, indécises. Vous n’avez pas dû en rencontrer beaucoup dans votre vie. Je le comprends : être un pharaon, cela occupe.
En espérant ne pas avoir brisé votre dignité phallique,
La lune
Ceci n'est pas une blague.
Le blog de notre maître incontesté (non ce n'est pas Chuck Norris), le vénérable et vénéré Raphaël Zacharie
Que voilà une belle réponse. ..
RépondreSupprimerFier de toi. !!!!!!
quelle merveilleuse réponse....toutes mes félécitations Cela s'appelle :" lui clouer le bec"
RépondreSupprimerMagnifique réponse!!! J'adore, ...
RépondreSupprimerCa c'est ma Camille à moi :D J'over-kiffe !
RépondreSupprimerPOUR ENFONCER LE CLOU :
RépondreSupprimer"Les hommes n'existent plus "en duo avec une activiste anti-féministe :
http://www.dailymotion.com/video/xjzwje_les-hommes-n-existent-plus-final-raphael-zacharie-de-izarra_news
Raphaël Zacharie de IZARRA
1 - LA FEMME EST LE SILLON DE L'HOMME (texte de Xavier de IZARRA)
RépondreSupprimerÀ votre avis, pourquoi Dieu a-t-il créé l'homme et la femme, le ciel et la terre, le jour et la nuit ? Si l'homme et la femme se valaient, Dieu ne se serait pas fatigué à créer deux êtres différents. L'homme et la femme sont complémentaires comme sont liés le jardinier et son jardin, Dieu et sa création. Un jardin restera toujours en friche sans l'intervention de la main habile du jardinier. De même, une femme a besoin d'être labourée par l'homme pour atteindre le règne prestigieux des êtres humains ; l'enfant a besoin d'être éduqué pour devenir un adulte éveillé, le diamant a besoin d'être taillé pour étinceler. Dieu a insufflé son étincelle dans sa Création, qui je vous le rappelle a été créé à son image. Ensuite l'homme à son tour féconde la femme de son humanité afin de l'extraire de son animalité; il lui donne ainsi une âme que, par nature, elle ne possède pas.
Mais il faut bien comprendre que si la femme n'existait pas, l'homme ne pourrait pas survivre spirituellement parlant. Lui aussi ne serait qu'un animal, certes supérieur, mais un animal quand même. C'est l'union de l'un et l'autre ou plutôt la fusion de l'un et l'autre qui permet à l'humanité de transcender sa réalité ras les pâquerettes. Un jardinier sans son jardin crèverait de faim, mais un jardin sans jardinier c'est-à-dire livré à lui-même ne donnerait aucun fruit. Il ne serait que broussailles où pulluleraient toutes sortes de bestioles nuisibles.
Des expériences ont été faites qui consistaient à regrouper des centaines de femmes sans aucun homme pour les guider. Le résultat fut catastrophique : tout se résumait à chamailleries et crêpages de chignon.
C'est le couple jardin-jardinier, homme-femme, Dieu-humanité, jour-nuit, etc. qui font la beauté, la diversité et la richesse du monde. Dans un couple il y a toujours le mâle et la femelle, le donneur et le receveur, le maître et l'esclave, le savoir et l'ignorance. L'homme donne, la femelle reçoit. L'humanité reçoit l'esprit de Dieu, la femme reçoit l'intelligence de l'homme, le jardin reçoit les graines du jardinier.
La femme n'est pas belle en elle-même.
Pour être belle, elle a besoin d'être jardinée par l'homme, son maître.
La femme ne peut grandir qu'en passant par la case "soumission". De même, l'humanité ne peut atteindre Dieu qu'en acceptant sa soumission. Un être humain, qui renie la puissance divine, qui ne voit pas Dieu à travers sa création n'est qu'un animal.
Une femme qui refuse la force de l'homme ne sera jamais une femme épanouie. La femme est une pierre brute, et le devoir de l'homme est de la polir en lui inculquant l'étincelle divine qu'elle n'a pas à sa naissance. Contrairement à l'homme, une femme est comme un enfant, comme un bébé, à qui l'on doit apprendre les rudiments nécessaires à son élévation spirituelle. Dieu a créé l'homme à son image à partir d'un bloc de terre glaise dans lequel il a insufflé la vie, c'est-à-dire une âme.
2 - Les plantes, les animaux, la femme, les enfants, et tout l'univers ont été créé par Dieu exclusivement pour l'homme. La femme fait partie des choses de la nature que l'homme doit travailler pour en faire son paradis tout comme il le fait en exploitant la terre. Bien sûr, la femme a une âme mais il s'agit de l'âme universelle que l'on retrouve dans toute la création, aussi bien dans les chenilles que dans les grains de poussière. Ce n'est pas le jardin qui est beau, mais le jardin est le matériau qu'utilise le jardinier pour exprimer la beauté qu'il a en lui.
RépondreSupprimerCe n'est pas la femme qui est belle, mais la femme est le matériau qu'utilise l'homme pour exprimer la beauté qu'il a en lui. La création est belle parce qu'elle est l'oeuvre de Dieu. La femme est belle parce qu'elle est l'oeuvre de l'homme. Le jardin est beau et prolifique parce qu'il est l'oeuvre du jardinier.
Que ça vous plaise ou non, c'est ainsi. Rien ni personne ne peut s'opposer à la volonté divine.
Xavier de IZARRA
xavier_de_izarra@yahoo.fr
Transmis par Raphaël Zacharie de IZARRA
Cher soleil, une réponse est à venir bientôt sur mon blog.
RépondreSupprimerSauf que... Dieu n'existe pas. C'est con hein Raphifoufou(ne) mais faut t'y faire, toute ton argumentation se base sur du vent (qui propage les graines de ta bêtise dans les sillons de, houla voilà que je cause comme ti).
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